À la surface du monde

mardi 16 janvier 2024
par  Paul Jeanzé

J’ai couru de par le monde
Pour voir si la terre était ronde
Je n’ai vu que des tempêtes
Agiter les os de la mer
Je les entends encor cliqueter à mes oreilles
Les nuits où je ne trouve pas le sommeil
 
J’ai traversé la vie en trombe
Espérant profiter d’elle à chaque seconde
Je n’ai trouvé que des heures qui filaient
Et des jours à rallonge
Moi qui rêvais d’éternité
Je n’en peux plus de voir le temps passer
 
À la veille de quitter ce monde
Peu m’importe qu’elle fût ronde
Notre si belle Terre
Elle aurait pu être plate carré voire cabossée
J’aurais dû y promener mon âme vagabonde
 
Ma pauvre âme
Où seras-tu quand mon corps se sera assoupi
Dedans sa tombe ?

[ télécharger l'article au format PDF]

Annonces

Message estival

Vendredi 04 juillet 2025

Même si je vous donne peu de mes nouvelles, j’avance toujours tranquillement sur mon petit roman, intitulé Une journée ordinaire. Je dis « petit » dans le sens où il est peu bavard en terme de mots : 25 000 mots environ. Il est « terminé »... enfin, toute la matière est là. Je suis dans la phase où je relis et reprend chaque chapitre plusieurs fois jusqu’à en être (à peu près) satisfait. Peut-être cette phase se terminera-t-elle vers la fin de l’été, peut-être... car je reprends parfois tout du début, quand j’estime « perdre un peu le fil » De plus, le dernier chapitre est à revoir, la fin notamment... Je passe souvent énormément de temps à tenter de trouver une fin « pas trop banale ». Bref, beaucoup de cuisine interne !

Bien à vous et en vous souhaitant un bel été (au frais en ce qui me concerne),
Paul Jeanzé


Brèves

15 janvier - Une année dans tous sens

Mercredi 15 janvier 2025
Une nouvelle année commence, et fidèle à mes habitudes depuis dix ans (…)

16 juin 2024 - Des Poézies qui repartent dans le bon sens

Nous voici arrivés au mois de juin et je m’apprête à prendre mes quartiers d’été dans un lieu (…)

7 mai 2024 - Des "mauvaises nouvelles" qui donnent de la voix

En ce début de semaine, Monsieur Éric Lebret mettait sa voix au service d’une de mes nouvelles, (…)