Baudelaire (Charles)

Né Charles-Pierre Baudelaire à Paris le 9 avril 1821.

En 1852, il publie des traductions de l’oeuvre de Poe, qui font toujours référence, ainsi qu’une étude sur celui-ci.

En 1855, il publie plusieurs poèmes des Fleurs du Mal, édition complétée en 1857 qui lui vaut d’être censuré et condamné à une amende pour immoralité. En parallèle, il publie également des poèmes en prose.

En 1861-1862, il pose sa candidature à l’Académie française, puis se désiste. Il fait publier une deuxième édition, augmentée, des Fleurs du Mal, ainsi que des Petits poèmes en prose. En 1864, il se rend à Bruxelles pour y faire des "lectures".

En 1866, il est frappé d’un ictus hémiplégique accompagné d’aphasie. Il est ramené à Paris, où il meurt le 31 août 1867. Il est inhumé au cimetière Montparnasse.


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lundi 14 décembre 2020
par  Paul Jeanzé

Petits poèmes en prose (Le spleen de Paris)

Petits poèmes en prose
L’étranger
-- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ? — Je n’ai ni père, ni mère, ni sœur, ni frère. — Tes amis ? — Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu. — Ta patrie ? — (…)

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Message estival

Vendredi 04 juillet 2025

Même si je vous donne peu de mes nouvelles, j’avance toujours tranquillement sur mon petit roman, intitulé Une journée ordinaire. Je dis « petit » dans le sens où il est peu bavard en terme de mots : 25 000 mots environ. Il est « terminé » dans le sens où toute la matière est là. Je suis dans la phase où je relis et reprend chaque chapitre plusieurs fois jusqu’à en être (à peu près) satisfait. Peut-être cette phase se terminera-t-elle vers la fin de l’été, peut-être... car je reprends parfois tout du début, quand j’estime « perdre un peu le fil » De plus, le dernier chapitre est à revoir, la fin notamment... Je passe souvent énormément de temps à trouver une fin « pas trop banale ». Bref, beaucoup de cuisine interne !

Bien à vous et en vous souhaitant un bel été (au frais en ce qui me concerne, et dans la mesure du possible),
Paul Jeanzé