Renaissance

mercredi 15 janvier 2025
par  Paul Jeanzé

Après quelques années d’absence
Somnolence
Indolence
Panne des sens
Et panne d’essence
Après de longues nuits d’errance
À rouler à contresens
Voilà que je reprends connaissance
Retour à la conscience
 
Trop tôt je crus à la convalescence
Au nom de la science
J’allais être sauvé
Faites-nous confiance
Vous n’avez aucune raison de vous inquiéter
Pourtant j’aurais dû me méfier
Il ne suffit pas toujours d’une ordonnance
Pour retrouver une bonne santé
 
Sur le chemin de la souffrance
On est souvent seul avec son ignorance
On oublie parfois l’espérance
On fait fie de sa présence
Mais un peu de bienveillance
Et reviendra le temps de la sérénité

[ télécharger l'article au format PDF]

Annonces

Message estival

Vendredi 04 juillet 2025

Même si je vous donne peu de mes nouvelles, j’avance toujours tranquillement sur mon petit roman, intitulé Une journée ordinaire. Je dis « petit » dans le sens où il est peu bavard en terme de mots : 25 000 mots environ. Il est « terminé »... enfin, toute la matière est là. Je suis dans la phase où je relis et reprend chaque chapitre plusieurs fois jusqu’à en être (à peu près) satisfait. Peut-être cette phase se terminera-t-elle vers la fin de l’été, peut-être... car je reprends parfois tout du début, quand j’estime « perdre un peu le fil » De plus, le dernier chapitre est à revoir, la fin notamment... Je passe souvent énormément de temps à tenter de trouver une fin « pas trop banale ». Bref, beaucoup de cuisine interne !

Bien à vous et en vous souhaitant un bel été (au frais en ce qui me concerne),
Paul Jeanzé


Brèves

15 janvier - Une année dans tous sens

Mercredi 15 janvier 2025
Une nouvelle année commence, et fidèle à mes habitudes depuis dix ans (…)

16 juin 2024 - Des Poézies qui repartent dans le bon sens

Nous voici arrivés au mois de juin et je m’apprête à prendre mes quartiers d’été dans un lieu (…)

7 mai 2024 - Des "mauvaises nouvelles" qui donnent de la voix

En ce début de semaine, Monsieur Éric Lebret mettait sa voix au service d’une de mes nouvelles, (…)