Articles publiés dans cette rubrique
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Citations
Si je savais, disait un jour Moshé de Kobryn, qu’après ma mort on dira au ciel : « Voilà un Juif », je n’aurais plus nulle inquiétude. Les récits hassidiques – Martin Buber
Ce sont […] les poètes, bien plus que les penseurs ou les érudits, qui représentent les chantres de l’âme d’Israël qu’étaient les (...)
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Par un beau matin du mois d’août
En ce tout début de matinée, sans prêter la moindre attention au ciel limpide qui se préparait à accueillir les premiers rayons du soleil, l’homme ouvrit précipitamment les volets de la fenêtre qui donnait sur la rue. Au loin, il venait d’entendre le signal sonore, strident et répétitif, annonçant que (...)
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La véritable histoire de Monsieur Z
Chapitre premier : silence radio
« Chers auditeurs, il ne nous reste plus que deux minutes avant de refermer notre édition de la mi-journée. J’accueille donc très rapidement notre dernier invité. Comment vous appelez-vous, cher monsieur ? — Euh… mon nom est… — Et donc si vous êtes avec nous (...)
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Chapitre deux : des préjugés à plus d’un titre
Enfin le bel automne se termine, les arbres deviendront chauves…
Je ne prenais pas le temps d’en écouter plus. Je ne faisais d’ailleurs même pas attention à ce curieux bulletin météo. D’un geste las, j’ôtai les lourds écouteurs qui me brûlaient les oreilles, les touchai délicatement et sentis que (...)
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Chapitre trois : la face cachée de la rue
Ce fut dans un épais brouillard que j’aperçus le muret vers lequel je tentai immédiatement de m’approcher en titubant, tel un naufragé qui, dans la nuit noire et glacée de l’océan, croit discerner à quelques brasses de lui une salvatrice planche de bois. Peu avant d’arriver à sa hauteur, je fus pris de (...)
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Chapitre quatre : Coups d’œil dans le métro
Contrairement à ce que j’avais cru entrevoir, je ne pus me remettre en marche aussi rapidement que je l’aurais souhaité ; de très longues minutes me furent encore nécessaires pour que je revinsse complètement à la réalité, tant les pensées qui s’accumulaient au sein de mon esprit rendaient confuse la (...)
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Par une sombre soirée du mois d’août
Je venais de passer une journée vraiment très étrange, une journée pendant laquelle il m’avait été absolument impossible de démêler le vrai du faux. Maintenant que je m’étais réfugié dans mon appartement, je m’installai immédiatement à mon bureau, espérant trouver dans ce petit espace un peu de repos et de (...)
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Notre première rencontre
Je venais de trouver un travail dans une des nombreuses agences d’urbanisme de la capitale, mais devant l’inaccessible prix de ses loyers, et aussi parce que son immensité m’effrayait, j’avais préféré m’installer un peu à l’écart, dans une de ces rares villes de banlieue encore réputées pour leur (...)
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La parole est au lecteur
De ma rencontre avec Moïse Tannenbaum, je n’avais rien inventé ; tout au plus avais‑je quelque peu sous-estimé les tempêtes successives que mon esprit avait essuyées entre la déconcertante invitation du vieil homme et ma visite effective à son domicile, ainsi que les scènes mémorables entre ma mère et (...)
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La vérité sur la véritable histoire de Monsieur Z
Pendant cette période, j’eus l’impression d’être littéralement transcendé. Alors qu’habituellement, j’écrivais de façon laborieuse, voilà que je réussis à rédiger trois chapitres d’affilée à raison d’un par semaine, du jamais vu ! J’étais si empressé que j’escamotais allègrement la phase de relecture ; à peine (...)
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